Se faire un vrai goûter de saison. Des châtaignes en automne. Du vin chaud à la canelle en hiver. Des tartines à la confiture de maman au printemps. Des fraises au sucre en été.
mardi 29 septembre 2009
lundi 28 septembre 2009
"SAINT OUEN A PEUR"
Avec le ton et le regard bleu acier de Roger Gicquel. Encore deux morts ce samedi, tués par balle en plein après midi sur fond de règlement de comptes et de trafic de stupéfiants (quel mot stupéfiant pour signifier shit ou merde (je prends des cours d'anglais quand même...) - bah oui la drogue c'est d'la merde, non ?).
Ma banlieue chérie souffre d'un mal amorcé il y a bien longtemps par l'urbanisme adsurde, la fonte des services publics et des moyens et surtout l'ennui de sa jeunesse rejetée derrière le périph'. Aux grands maux, les grands drames.
vendredi 25 septembre 2009
LA PATINOIRE DE SAINT OUEN
Je n'ai certes pas parcouru le monde dans son exhaustivité, mais je pense pouvoir affirmer haut et fort qu'il n'y a pas de bâtiment plus repoussant à l'oeil que la patinoire de Saint Ouen. Réalisée entre 1975 et 1979 par Paul Chemetov, elle trône à un carrefour clef de la cité abbaissant considérablement sa note esthétique. Qui est donc responsable de cette infamie ? Le petit Paulo qui l'a dessinée ou la mairie de Saint Ouen qui l'a commandée ? Je n'irais pas jusqu'aux comparaisons minables de "qui du juge ou du bourreau", de "qui des téléspectateurs ou de Secret Story" ou de "qui des électeurs ou de Nicolas Sarkozy"...
Mais je m'égare... Elle est bien là, cette verrue urbaine et elle gâche un peu mon plaisir audonien. En cas de séance de bricolage du dimanche, je fais un détour de malade pour aller chez Leroy Merlin et ne pas passer devant. Je cauchemarde à l'idée que la gosse me demande un jour de faire du patinage artistique. J'ai déposé un dossier à la préfecture pour monter "le Comité de soutien du bon goût - Anéantir la moche patoche". Mais je doute que cette action aboutira... Dans un sens ce serait dommage, on ne pourrait plus assister à ce type de spectacle rare. Oh oui tellement dommage...
Gala de fin d'année 26 mai 2007 - Ma-Tvideo France3
Gala de fin d'année du 26 mai 2007.
Patinoire de Saint-Ouen.
Les Confettis et les Jolis Mômes : Ballet d'ouverture.
Les Confettis : Ton quotidien est-il le même que le mien ? (notre quotidien est comme un voyage en train...)
Gala de fin d'année du 26 mai 2007.
Patinoire de Saint-Ouen.
Les Confettis et les Jolis Mômes : Ballet d'ouverture.
Les Confettis : Ton quotidien est-il le même que le mien ? (notre quotidien est comme un voyage en train...)
jeudi 24 septembre 2009
mardi 22 septembre 2009
L'AUTOMNE
Oyé oyé, c'est aujourd'hui la Saint Maurice et donc l'automne... Et oui cette saison pourrie qui accueille en son sein le pire mois de l'année : NOVEMBRE. C'est aujourd'hui le premier jour d'une longue descente aux enfers jusqu'à Noël. Parce qu'il n'y a pas à tortiller du cul pour chier droit (j'ai une affection particulière pour cette expression...), l'automne c'est de la merde ! Il y a la rentrée, le retour à l'école, au bureau et des voitures sur le périph'. Les ex vacanciers affichent une mine triste et sont enclins à râler pour une mouche qui pète. Les cheveux imitent les feuilles des arbres et tombent, laissant autant de raisons de déprimer sur l'oreiller. On enfouit ses petites robes bigarées et fluides au fond du placard pour se vêtir d'un col roulé gris chagrin en attendant la dernière limite pour allumer la chaudière. On ne sait jamais, on pourrait avoir un été indien... Et où sont passés les abricots, pêches, cerises, fraises et melons ? A part dans les pots de confiture de maman... Même les fruits sont tristes, la pomme n'a rien de glamour, la grappe de raisin nous rappelle qu'une visite à la foire aux vins du supermarché du coin devient indispensable. Noyer son chagrin dans un bon cru nous aidera peut être à ne pas flancher jusqu'aux festins des fêtes.
lundi 21 septembre 2009
LES PETITS BONHEURS DU QUOTIDIEN N°3
jeudi 17 septembre 2009
JE SUIS TOMBEE EN AMOUR AVEC... N°2
... Le Poulpe.
Pas l'animal dégueu. LE Poulpe.
Une collection de polars éditée par la Baleine (pas l'animal à fanons) depuis que Jean-Bernard Pouy a initié la série en 1995. Un héros: Gabriel Lecouvreur (c'est lui LE fameux Poulpe) témoin de son temps, enquêteur à ses heures perdues et libertaire. Un lieu : le Pied de Porc à la Sainte-Scolasse, rade où chaque histoire démarre via la lecture de la rubrique faits divers d'un canard et où elle s'achève. Une meuf : celle du Poulpe, Chéryl, la vraie blonde coiffeuse qui aime le rose sans être cruche. Un keuf : Vergeat des RG ami-ennemi du Poulpe qui déteste ses travers anar. Un livre : de philo souvent que le Poulpe lit. Une bière : à boire. Dans le pire PMU du patelin, c'est mieux. Un auteur : différent pour chaque roman. Un titre : jeu de mots à 2 Francs mais tellement drôle. Petite sélection parmi les plus de 260 titres:
Nazis dans le Métro
Un Travelo nommé Désir
Ouarzazate et Mourir
Lundi, c'est Sodomie
J'irais faire Kafka sur vos Tombes
Satanique ta Mère
Zombi la Mouche
Le Brie ne fait pas le Moine
Goulasch-moi les Baskets
Notre Père qui êtes Odieux
A l'Ombre des jeunes Flics en Pleurs
Un film de Guillaume Nicloux avec Jean Pierre Daroussin qu'il est bon de mater tard après une soirée. Ca aide à débourrer ou à dédéfoncer grâce aux répliques qui tuent, la B.O. électrique et Clotilde Courau à poil.
Des BD adaptées des romans éditées chez 6 Pieds sous Terre. Mais moi j'avoue que la BD c'est pas trop mon truc alors...
Le Poulpe c'est le héros que j'aime parce qu'il n'est pas super (héros s'entend). A la marge, il défend les petits (ceux de la France d'en bas), boit de la bière et est mal habillé. Il n'enquête ni à Rio ou à Bangkok mais à Landerneau, Dieppe ou Saint Dragon (Charente Maritime). Il n'aime pas les keufs et les keufs ne l'aiment pas. Il s'en prend plein la gueule mais se relève toujours amoché. Un héros populaire, qui fait partie du peuple, un peu comme nous tous finalement.
Libellés :
AH TCHI TCHA,
JE SUIS TOMBEE EN AMOUR AVEC...,
LECTURES
mercredi 16 septembre 2009
LAURENT WEIL
Le petit "sofa-film" d'après SAV d'Omar et Fred est souvent miné par une séance de torture anti cinéphile. Avec son phrasé si désagréable et sa manie à dévoiler tout du film en 1 minute 30, Monsieur Weil nous oblige, l'Homme aux chaussures rouges et moi à effectuer un petit rituel bien fantaisiste durant sa chronique : le "lalala je ne t'écoute pas lalala" qui consiste à clore oreilles et yeux et à chanter très fort, c'est encore mieux en dansant ! Cela fonctionne aussi pour les bandes annonces ou coming next qui gâchent les cliffhangers des séries à suspense ou pour tout programme de "divertissement" de TF1.
mardi 15 septembre 2009
DO YOU SPEAK ENGLISH ?
I have to speak english very well for my job, so I have learnt it for a year. To me, going back to school is very boring, doing homeworks is too difficult, showing to my classmaids my weaknesses is not my cup of tea. I hate tea ! I try very hard to be a good girl : I read books in english, I write e-mails in english, I don't miss a class, I watch videos in english (with subtitles). Why is it so difficult ?
It's my challenge, I won't fail ! If English people can speak english, I'll be able to !
lundi 14 septembre 2009
vendredi 11 septembre 2009
L'ESTROMAIN
La trappe se referme et j'ai un peu mal.
Je regarde ma main et il y a un truc qui cloche, qui cloche sérieusement. Mon fuck finger est bien plus grand, fier de s'élever plus haut. Mais il triche, le bougre ! Ce sont mon index et mon annulaire qui se sont raccourcis dans un instant sanglant.
Je hurle, un hurlement interminable comme pour clamer que cela ne peut pas m'arriver. Et comme je suis désormais plusieurs, une autre moi crie "ouvre", "ouvre", "ouvre"... L'Homme aux chaussures rouges soulève la trappe et je me soustrais de la cave. Je vois sur le carrelage ce qui était de moi, à moi, moi. Ces deux bouts, pas gros, comme des berlingots qui me sont, j'en suis convaincue, à jamais arrachés.
"Ouvre... Ramasse mes doigts, ramasse mes doigts, ouvre... Ramasse mes doigts...
- Elle a juste deux bouts d'doigts en moins alors dépêchez-vous !
- Ramasse mes doigts... Ouvre...
- Non elle est consciente. C'est ma femme...
- Ramasse mes doigts, je t'en supplie ramasse mes doigts, je t'en supplie ramasse mes doigts...
- Merci... Mais Putain !!! Pourquoi tu ne m'as pas attendu ???
- Ramasse mes doigts..."
Il faut mettre les segments dans un plastique, lui-même placé dans un second plastique rempli de glace. Les segments ne doivent pas être en contact direct avec la glace. J'ai visionné beaucoup de reportages médicaux.
L'Homme aux chaussures rouges m'a laissée seule pour accueillir les pompiers. J'entends le hurlement silencieux de celle que j'ai laissée dans la cave, celle que je ne serais plus. J'attends que l'on m'emmène, allongée sur le carrelage gelé de la cuisine, je serre fort mon petit sachet en plastique mouillé.
Mon transfert vers la nouvelle moi est très solennel, il y a plein d'invités : huit pompiers classieux en uniforme, un médecin, une infirmière, un ambulancier, un voisin pianiste et l'Homme aux chaussures rouges. On me dépose sur un lit blanc qui semble voler jusqu'à la voiture blanche, elle aussi, et lumineuse. Grande cérémonie, grand bruit de sirènes, des motards de la police nationale se joignent à nous pour ouvrir le convoi sur la rocade parisienne. La fête bat son plein, drogue opiacée à volonté... Mais je ne peux empêcher mes larmes de couler en pensant à celle que tous, moi y compris, ont laissée dans l'obscurité de la cave audonienne...
mercredi 9 septembre 2009
SHUTTER ISLAND
Dans son numéro spécial Mystère de cet été, Télérama présente Shutter Island de Dennis Lehane comme l'un des romans les plus "mystérieux". Et voilà comme une envie irrépressible de relire ce roman noir. Si l'intrigue remet sérieusement les maîtres de la manipulation à leur place, c'est surtout grâce à l'ambiance lugubre du centre d'internement psychiatrique de Shutter Island perdue au large de Boston et à ses personnages tous naufragés de leur vie que le fameux mystère m'a tenue jusqu'au petit matin. C'est, je crois, l'un des rares livres que j'ai lu d'une traite, comme on regarde un film. Film que va livrer Martin Scorsese bientôt... (enfin les adaptations, je me méfie, même celles des maîtres...)
Shutter Island fout grave les boules, une angoisse palpable au fond de son lit douillet, un effroi à vous interdire de mettre à nouveau les pieds sur une île surtout du côté de Boston dans les années 50, un supplice de voir les personnages se perdre avec ce désir vain de les sauver d'eux-même. Une lecture qui ébranle.
mardi 8 septembre 2009
JE SUIS TOMBEE EN AMOUR AVEC... N°1
... Dominique A (d'où le titre du blog tiens !)
Il s'agit d'un amour insensé qui prend aux tripes. Les chansons de Dominique A parlent de tout, elles parlent de rien, mais surtout elles me parlent. Aucune autre n'accompagne aussi bien mes pas jusqu'au métro, aucune autre ne détruit aussi bien un ennui de sofa, aucune autre ne rend aussi douce la caresse de mon chat Bruno, aucune autre n'a raison aussi bien de moi.
lundi 7 septembre 2009
A VELO N°1 : LE CANAL DE L'OURCQ
Que fait-on quand on se sent désœuvrée à Paris l’été ? Hé bien n’importe quoi ! Certains se mettent en maillot de bain sur les bords de Seine, d’autres sortent leur voiture du parking souterrain pour gagner un nouveau record de tour de périph’ et moi je me mets en tête de me « faire le canal de l’Ourcq ». Une légende urbaine soutient que la campagne, la vraie, est accessible à vélo depuis Paris sans croiser une seule bagnole et par tous. Par tous ? Y compris les feignasses dans mon genre ?
« T’es dingue ou quoi, on va se perdre !
- Bah non, y a juste à suivre le canal…
- Ouais, bon OK… (moment de réflexion intense pour trouver une excuse…) Mais ça va être trop dur !
- Ce sont des chemins de halage, c’est tout plat ! Alors on est cap’ ou on n’est pas cap’ ?
- OK TOPE-LA ! On va s’le faire ce canal ! » (extrait d’une conversation arrosée avec une autre feignasse désoeuvrée)
« T’es dingue ou quoi, on va se perdre !
- Bah non, y a juste à suivre le canal…
- Ouais, bon OK… (moment de réflexion intense pour trouver une excuse…) Mais ça va être trop dur !
- Ce sont des chemins de halage, c’est tout plat ! Alors on est cap’ ou on n’est pas cap’ ?
- OK TOPE-LA ! On va s’le faire ce canal ! » (extrait d’une conversation arrosée avec une autre feignasse désoeuvrée)
Après un minimum de recherches internet qui nous confirment que OUI c’est possible (sur http://www.aufildelourcq.org/) on se décide à parcourir la centaine de km sur 2 jours et de revenir en train.
PETIT TOPO EQUIPEMENT avec les choix des intéressées
- Vélo qui roule sur des chemins (Railway 4.0 édition 2007 de GoSport contre B’Twin Elops 3 édition 2008 de Décathlon)
- Contenant pour la nourriture, l’eau et les effets persos (sacoches accrochées au vélo contre sac à dos attaché au dos)
- Accessoires contre les affres de la météo (kit chapeau-lunettes-crème solaire contre kit poncho-polaire-écharpe)
- Outils spéciaux pour les vélos (vendus dans de belles pochettes dans tous les magasins de sport ou de cycles)
- Vélo qui roule sur des chemins (Railway 4.0 édition 2007 de GoSport contre B’Twin Elops 3 édition 2008 de Décathlon)
- Contenant pour la nourriture, l’eau et les effets persos (sacoches accrochées au vélo contre sac à dos attaché au dos)
- Accessoires contre les affres de la météo (kit chapeau-lunettes-crème solaire contre kit poncho-polaire-écharpe)
- Outils spéciaux pour les vélos (vendus dans de belles pochettes dans tous les magasins de sport ou de cycles)
- Chambres à air
Nous voilà parties de bon matin avec dans les yeux et les cuisses la rage d’accomplir un exploit surhumain. Les 25 premiers km depuis le Parc de la Villette, on peut se le dire entre nous, c’est un peu trop fastoche. Une belle piste cyclable goudronnée longe le canal après les pavés de Pantin. La seule difficulté est de ne pas tomber dans les pièges tendus par les gars de la DDE : la piste change de berge de temps à autre. Mais on nous la fait pas ! On a l’œil pour économiser nos efforts.La ville nous quitte petit à petit : après les Grands Moulins de Paris, le squat immense de Pantin, les garages de métro, les usines et autres douceurs urbaines, on rencontre un arbre, puis deux, puis trois et BAM ! La forêt de Sevran ! La piste prend même des libertés avec quelques côtes et descentes.
STOP ! Arrêt pipi ! Le parc de Sevran offre 237 hectares de nature (avec des WC à côté de la buvette) où pique-niquer tranquille. La plupart des promeneurs parisiens font l’aller et retour dans la journée ou rejoignent Paris en RER depuis la gare de Sevran-Livry ou Vert Galant, on a même vu des Vélib’ !
Retour en selle, destination : Meaux ! Après Villeparisis, finie la piste cyclable si lisse, si douce avec nos tendres fesses. Elle laisse place au chemin de halage gravillonné plus ou moins « gros » et… INTERDIT AUX VELOS (!!!) Mais ouais, c’est ça ! Nous on est des rebelles ! Ce n’est pas un panneau qui va nous stopper dans notre périple extra urbain ! Encore 30 km de campagne, de petites écluses mignonnes et de ponts. Satanés ponts qu’il faut franchir ! C’est régulier sur le parcours : une belle côte courte mais de la mort ! A vous couper les jambes et le moral…
« C’est encore loin ?
- Mais j’en sais rien !!!
- Pffffouououou… J’en ai marre et j’ai mal au … ! »Dialogue répété 42 fois sur les 10 derniers km sans distribution fixe des personnages…
« C’est encore loin ?
- Mais j’en sais rien !!!
- Pffffouououou… J’en ai marre et j’ai mal au … ! »Dialogue répété 42 fois sur les 10 derniers km sans distribution fixe des personnages…
L’arrivée à Meaux sonne comme une délivrance. Mais aussi, hum hum, pas terrible du tout. Le retour à la ville (pas très belle) avec ses automobiles (omniprésentes et trop bruyantes) clôt cette journée sur une déception. Nous avions misé sur la « grosse » ville pour dormir. Nous aurions dû faire étape à Trilbardou, Villenoy ou Vignely, beaucoup plus dans le ton du week-end campagnard…Parce qu’on se fait plaisir pour dompter notre sentiment, on choisit un ravitaillement gastronomique à l’auberge du Champ de Mars situé à côté de notre hôtel Kyriad. Au menu, escargots, bonne pièce de bœuf, et dessert au citron.
DODO + petit dèj’ buffet et c’est reparti pour la Ferté Milon, dernière ville sur le canal avec une gare pour un retour sur Paris. Après moultes tentatives d’attendrir nos selles, il faut bien se faire une raison : sans équipement spécifique (selle avec gel et petit cycliste rembourré au niveau des « parties ») pas de salut pour nos fesses ! Mais notre honneur nous fait enquiller les km.Cette seconde journée est plus bucolique que la première, la végétation (et les petites bêtes…) enchante notre parcours. Les communes traversées ont un goût de vacances : celui du calme au fil de l’eau. Le déjeuner s’improvise sur les bords de canal après avoir fait une razzia sur les mûriers.
Et la question fatidique se pose : « On va jusqu’au bout ou on prend le train avant ? » Les ingénieurs de la SNCF sont machiavéliques : ils ont placé quelques gares avant notre objectif ! Et c’est bien tentant de rentrer quelques km plus tôt… Mais pas question de rentrer la tête basse ! Nous irons jusqu’au bout !
A la Ferté Milon, on tourne à gauche dans LA rue pour trouver la gare. Là un TER jusqu’à Meaux puis un train de banlieue jusqu’à la gare de l’Est.
A la Ferté Milon, on tourne à gauche dans LA rue pour trouver la gare. Là un TER jusqu’à Meaux puis un train de banlieue jusqu’à la gare de l’Est.
BILAN DE L’ESCAPADE
- Une réelle fierté d’avoir parcouru 117 km sur 2 jours
- Une pause verte au cœur de l’été parisien
- Des cuisses de rêve
- Des fesses meurtries
- Une réelle fierté d’avoir parcouru 117 km sur 2 jours
- Une pause verte au cœur de l’été parisien
- Des cuisses de rêve
- Des fesses meurtries
- Un vélo crado à bichonner pour une prochaine rando !
vendredi 4 septembre 2009
PETITS BONHEURS DU QUOTIDIEN N°1
Enlever avec méticulosité le plastique des articles après une razzia à la Fnac.
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